Ces informations météorologiques sont utilisées pour déterminer les meilleurs sites d’observation des éclipses de Soleil et pour mes différents voyages. La plupart des cartes nécessitent l’utilisation de Google Earth et s’affichent en surimpression. Vous pouvez ensuite ajouter le tracé de l’éclipse de Soleil.
Ces cartes (mises à disposition par Jay Anderson) sont construites à partir des données de 2002 à 2015 fournies par le satellite Aqua de la NASA. L’instrument MODIS est celui qui est utilisée pour établir ces cartes. Les données sur ces cartes ont une résolution de un degré en latitude et longitude. Les valeurs de couverture nuageuse sont une moyenne des données, diurne et nocturne, disponibles sur la période allant de 2002 à 2015. Les cartes disponibles sur ce site sont réalisées avec les données du passage ascendant sur l’orbite polaire de l’après-midi, ce qui correspond approximativement à 2h de l’après-midi en heure locale. MODIS analyse les rayonnements visible et infrarouge et utilise ensuite des algorithmes complexes pour automatiquement déduire la couverture nuageuse et ses propriétés sur le globe. Ces cartes doivent être utilisées avec prudence, les données satellite sur la densité nuageuse ayant certains défauts bien connus. Utilisez les pour des comparaisons, plutôt que comme une mesure absolue de la couverture nuageuse.
Couverture nuageuse moyenne annuelle
Couverture nuageuse moyenne de janvier
Couverture nuageuse moyenne d’avril
Couverture nuageuse moyenne de juillet
Couverture nuageuse moyenne d’octobre
Couverture nuageuse moyenne de février
Couverture nuageuse moyenne de mai
Couverture nuageuse moyenne d’août
Couverture nuageuse moyenne de novembre
Couverture nuageuse moyenne de mars
Couverture nuageuse moyenne de juin
Couverture nuageuse moyenne de septembre
Couverture nuageuse moyenne de décembre
Ces cartes sont aussi disponibles ci-dessous sous la forme de surimpression Google Earth, sur laquelle vous pouvez ensuite ajouter le tracé de l’éclipse de Soleil.
Couverture nuageuse mondiale annuelle
Couverture nuageuse mondiale de janvier
Couverture nuageuse mondiale de février
Couverture nuageuse mondiale de mars
Couverture nuageuse mondiale d’avril
Couverture nuageuse mondiale de mai
Couverture nuageuse mondiale de juin
Couverture nuageuse mondiale de juillet
Couverture nuageuse mondiale d’août
Couverture nuageuse mondiale de septembre
Couverture nuageuse mondiale d’octobre
Couverture nuageuse mondiale de novembre
Couverture nuageuse mondiale de décembre
Ces cartes sont aussi disponibles, avec une résolution de 2.5° en latitude et longitude, pour la période de juillet 1982 à 2001 par l’intermédiaire des données fournies depuis 1982 par le «International Satellite Cloud Climatology Project» qui fait partie du «World Climate Research Program».
Couverture nuageuse mondiale annuelle
Couverture nuageuse mondiale de janvier
Couverture nuageuse mondiale de février
Couverture nuageuse mondiale de mars
Couverture nuageuse mondiale d’avril
Couverture nuageuse mondiale de mai
Couverture nuageuse mondiale de juin
Couverture nuageuse mondiale de juillet
Couverture nuageuse mondiale d’août
Couverture nuageuse mondiale de septembre
Couverture nuageuse mondiale d’octobre
Couverture nuageuse mondiale de novembre
Couverture nuageuse mondiale de décembre
Couverture Nuageuse Dynamique
Cette carte est mise à jour toutes les trois heures à partir des images satellites GOES, METEOSAT, et GMS, téléchargées depuis la page Geostationary Satellite Imagery de l’Université de Dundee.
Le chargement de chaque carte dans Google Earth peut prendre quelques secondes. Merci de patienter.
Température Terrestre Mondiale
La température terrestre est un bon indicateur de l’équilibre énergétique à la surface de la Terre, et met en valeur l’effet de serre. La température terrestre, qui est la somme de tous les échanges d’énergie entre le sol et l’atmosphère, permet de révéler un grand nombre de choses. La température de surface indique la perception de chaleur que l’on aurait en touchant la surface terrestre. Ce n’est donc pas la même que la temp&eacte;rature de l’air qui est donnée dans les bulletins météo classiques. L’échelle des températures va de -25 degrés Celsius (bleu foncé) à 45 degrés Celsius (jaune rosâtre). Les capteurs Moderate Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS) sur les satellites Terra et Aqua de la NASA enregistrent la température de chaque kilomètre carré sur Terre presque tous les jours malgré la couverture nuageuse. Les cartes indiquent la température terrestre mensuelle diurne de janvier 2006 à décembre 2008.
Dans le cycle de l’eau sur Terre, les nuages amènent la pluie et la neige. Mais ils prennent part aussi dans le bilan énergétique terrestre — l’équilibre entre l’énergie qui entre et qui sort du système climatique. Les nuages peuvent provoquer un réchauffement ou un refroidissement en fonction de leur altitude, de leur type ou bien de leur forme. Ils reflètent les rayons solaires dans l’espace, ce qui provoque un refroidissement. Ces cartes indiquent en pourcentage la couverture moyenne nuageuse d’une zone sur un mois. Les mesures sont faites par le capteur Moderate Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS) du satellite Terra de la NASA. L’échelle de couleur va du bleu (absence de nuage) au blanc (complètement nuageux). Les cartes mensuelles sont disponibles de janvier 2006 à décembre 2010.
Les chercheurs déterminent la pluviométrie sur toute la surface terrestre en tenant compte d’un grand nombre de données. Les pluviomètres fournissent les données les plus précises, mais ne sont généralement présents que dans les zones habitées. De nombreux satellites fournissent une couverture globale, mais deux défis doivent être relevés: tout d’abord, les capteurs des différents satellites font des mesures indirectes des précipitations, et des algorithmes doivent donc être utilisés pour obtenir la meilleure estimation pour chaque type de capteur. Ensuite, les types de données disponibles évoluent constamment dans le temps et l’espace, obligeant les scientifiques à s’adapter aux différentes particularités. Les données pluviométriques sont calculées par le «NASA/GSFC Laboratory for Atmospheres» comme contribution au programme GPCP, qui est un projet international faisant parti du programme de recherche «Global Energy and Water Exchange» de l’Organisation Météorologique Mondiale. Des informations plus détaillées et des images sont disponibles à l’adresse http://precip.gsfc.nasa.gov/. Les cartes de pluviométrie indiquent en millimètres la quantité d’eau telle que mesurée par le satellite Tropical Rainfall Measuring Mission (TRMM) de la NASA et de l’Agence Spatiale Japonaise. Les fortes accumulations de pluie sont indiquées en rouge, et les petites quantités en blanc. Les mesures se font autour des tropiques, les régions polaires ne sont pas concernées et sont donc blanches. Les cartes mensuelles sont disponibles de janvier 2006 à décembre 2008.
Les scientifiques utilisent les données fournies par le capteur Moderate Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS) du satellite Terra de la NASA pour déterminer la quantité relative d’aérosols — fines particules solides ou liquides en suspension dans l’atmosphère. Les poussières, le sel marin, les cendres volcaniques et la fumée sont des exemples de ces aérosols. L’image en fausses couleurs est une carte sur laquelle les aérosols refléchissent la lumière visible et les infrarouges proches. Les pixels bruns foncés indiquent une forte concentration, les plus clairs une concentration plus faible, et ceux en bleu clair signifient qu’il n’y a aucun ou peu d’aérosols. Les zones blanchâtre signalent qu’aucune donnée n’est disponible. L’obscurcissement optique mesure la quantité de lumière bloquée par les particules en suspension sur une colonne de l’atmosphère. Les aérosols ont tendance à absorber ou réfléchir la lumière solaire, réduisant la visibilité et augmentant l’obscurcissement optique. Une valeur inférieure à 0,1 (jaune pâle) indique un ciel parfaitement limpide avec une visibilité maximum, tandis qu’une valeur de 1.0 (brun roux) signale un temps très brumeux. Tous les jours, le capteur MODIS mesure la quantité de lumière visible et infrarouge qui est absorbée par l’atmosphère et celle qui est réfléchie vers l’espace. Chaque image représente l’obscurcissement optique mensuel moyen sur Terre. Les cartes mensuelles sont disponibles de janvier 2006 à décembre 2008.
Les scientifiques utilisent les données fournies par le Total Ozone Mapping Spectrometer (TOMS) de la NASA pour mesurer la quantité relative d’aérosols — fines particules solides ou liquides en suspension dans l’atmosphère. Les types d’aérosols détectés par le capteur TOMS incluent les poussières, la fumée et les cendres volcaniques situées à au moins 2 km (1,2 miles) d’altitude. Chaque jour, le capteur TOMS mesure la quantité d’UV absorbée par l’atmosphère et celle réfléchie vers l’espace. Ces mesures sont liées directemment à la concentration d’aérosol sur une colonne de l’atmosphère. Ces données quotidiennes sont ensuite regroupées pour former des images composites mensuelles en fausses couleurs. Les pixels bruns indiquent une forte concentration, les jaunes une concentration plus faible, et ceux en bleu clair signifient qu’il n’y a aucun ou peu d’aérosols au-dessus de 2 km d’altitude. L’Indice Aérosol est très utile pour déceler des poussières ou de la fumée au-dessus de surfaces lumineuses, comme les déserts, la neige ou les étendues glacées là où les autres techniques ne sont pas fiables. L’Indice Aérosol TOMS a aussi la capacité unique de voir de la fumée ou des poussières en présence de quelques nuages (allez sur le site TOMS pour plus d’informations). Les cartes mensuelles sont disponibles de janvier 2000 à juillet 2005.
Le capteur Total Ozone Mapping Spectrometer (TOMS) de la NASA fourni des mesures qui permettent aux scientifiques d’estimer précisemment la quantité d’UV-B (290 à 320 nm) atteignant la surface terrestre. Une exposition trop prolongée à ces longueurs d’onde provoque des coups de Soleil. L’image en fausses couleurs est une carte de la moyenne mensuelle des données TOMS quotidiennes, indiquant la quantité de rayonnement UV atteignant le sol. Les pixels jaunes indiquent les plus forts rayonnements, les teintes rouges et roses des valeurs moyennes, et les blancs signalent aucune ou peu d’exposition UV. Le capteur TOMS, étant sur une orbite polaire qui passe sur l’équateur tous les jours à midi heure locale, permet la mesure de la quantité totale d’ozone présente dans une colonne de l’atmosphère tout comme la couverture nuageuse sur l’ensemble de la planète. L’ozone et les nuages absorbent la majeure partie des ultraviolets traversant l’atmosphère. Le capteur TOMS mesure aussi la quantité de rayonnement solaire réfléchie par la partie supérieure de l’atmosphère. C’est la réunion de ces trois mesures permet aux scientifiques d’estimer précisemment la quantité de rayonnement UV atteignant la surface terrestre. Les cartes mensuelles sont disponibles de janvier 2000 à juillet 2004 (données fournies par le TOMS science team, NASA Goddard Space Flight Center).